Après un premier semestre à voir soit de la bobologie, des
caprices pour arrêt de travail, soit des patients un peu plus malades mais avec
une pratique différente d'un chef à l'autre, je décidais de me lancer dans l'expérience
"Médecine interne". J'avais pu voir, via quelques patients passés par
les urgences et transférés dans des services de médecine interne la complexité
de leurs pathologies et de leur prise en charge. Et de toute façon, mon souhait
n'étant plus de devenir urgentiste, il était important de me former à suivre
correctement des pathologies à plus long terme comme je pourrais le voir en
cabinet de médecine générale. Un ami, anciennement interne dans le même service
que j'avais choisi m'avait dit "tu vas en chier, mais tu vas beaucoup
apprendre". Sur de moi je me disais que de toute façon, personne n'apprend
sans contrepartie. Ce que je n'avais pas prévu c'était le vrai sens du début de
sa phrase.
Premier jour, après un staff interminable de 8h30 à 10h, chaque
interne se retrouve responsable de 8 ou 9 patients, des dossiers plus massifs
que les premières éditions de La
Bible de Gutenberg, des pathologies lourdes, très lourdes,
des traitements dont je n'avais jamais entendu parler. Et on nous demande de
faire notre première visite à J1, et de terminer avant 14h sinon le self sera
fermé, et de toute façon passé 14h30 il faudra voir les familles et gérer les
entrées des nouveaux patients. Cela nous est annoncé comme si c'était normal,
facile, une évidence même. Après 6 mois d'urgences éprouvant, il ne m'aura
cette fois fallu que 48h avant de pleurer dans le couloir en faisant ma visite,
obligé de choisir entre aller plus vite ou faire bien, sachant que de toute
façon même en allant vite je finissais après 14h, et même en prenant mon temps
pour bien faire je ratais la majorité des données importantes des dossiers.
Pour préciser les choses, les patients étaient hospitalisés
pour des pathologies comme des infections à germes multi-résistants sur chambre
implantable, avec diffusion en sous cutanée de la dernière chimiothérapie ou
infection à mycobactérie atypique d’un nouveau genre, apparentés aux germes de
la tuberculose, avec des germes différents retrouvés dans une biopsie du foie
et dans un prélèvement pulmonaire, le tout chez un patient SDF, en dénutrition
sévère, ne parlant que peu français, accro à la cigarette, refusant de porter
son masque, sniffant en permanence son pansement alcoolisé posé sur sa récente
lymphangite et qui avait déjà fugué deux fois. Lui je m’en souviens
parfaitement, et il y a de quoi. Et ce ne sont la que deux dossiers classiques
parmi les 9 que nous avions à gérer. Ajoutez à cela, un médecin assistant qui
vous dit de prescrire un examen et qui ne vous soutient pas quand à la visite
le grand chef vous demande avec un regard accusateur pourquoi vous avez
prescrit cet examen, ce que vous en attendiez et si vous réalisiez son coût !
Certes, j'apprenais beaucoup, les chefs étaient des puits de
science inépuisables, toujours curieux d'en apprendre davantage et de nous en
apprendre plus, mais avec le stress de la salle à gérer, il était souvent
difficile d'avoir la force de se consacrer à un apprentissage dans de bonnes
conditions.
Psychologiquement ce stage a été de loin le plus dur et je
détaillerai plus loin jusqu'où cela m'a mené.
Ce n'est un secret pour personne que j'ai une relation très profonde et personnelle avec Dieu. J'ai poussé et résisté à cette relation l'année dernière à cause de toutes les conneries que j'ai dû vivre avec l'herpès, mais encore une fois, Dieu est plus grand que mon entêtement et a traversé cette épidémie de feu sauvage et tout ce que j'avais de l'herpès génital. Pour moi personnellement, entendre maintes et maintes fois que je ne suis pas assez bon a vraiment envahi mon esprit de la pire façon possible. Je me suis complètement arrêté et je me réveillais comme ceci: comment la vie va-t-elle mettre fin à cette épidémie d'herpès temporaire: "baise tout le monde avec l'herpès si tu vois ce que je veux dire" mais soyons honnêtes ici ...
RépondreSupprimerC'est un lâche de dire non à la phytothérapie. C'est basé sur la peur. Et c'est malhonnête à ce que mon coeur veut. Ne construisez pas de mur autour de vous parce que vous avez peur des plantes herbacées ou de prendre des mesures audacieuses, en particulier lorsqu'il s'agit de problèmes de santé et de guérison. Tant de jeunes hommes / femmes me répètent sans cesse que le Dr Itua va m'escroquer, mais je le tente. Aujourd'hui, j'ai le sentiment que personne ne me convaincra jamais de la phytothérapie. J'accepte le phytothérapie du Dr Itua parce qu'il guérit mon herpès. Cela fait seulement deux semaines que je bois et que je vis depuis un an et des mois. Je n’ai plus d’épidémie. Vous pouvez le contacter si vous avez besoin de ses médicaments à base de plantes pour des maladies telles que l’herpès, la schizophrénie, le cancer, la scoliose, la fibromyalgie, la fluoroquinolone. Syndrome de toxicité: Fibrodysplasie osseuse progressive, Facteur V de Leiden, Epilepsie, Maladie de Duyme, Desmoplastique, Diabète, Maladie cœliaque, Creutzfeldt-Jakob, Maladie de Lyme, Épilepsie, SLA, Hépatite, Hépatite, Maladie de défense, , Fibrodysplasie osseuse Infertilité hommes / femme, maladie de l’intestin, maladie de Huntington, diabète, Fibrome. maladie, Lupus, maladies du stockage lipoïde (maladie de Gauchers), maladie polykystique, angiopathie amyloïde cérébrale, ataxie, cirrhose du foie, arthrite, sclérose latérale amyotrophique, maladie d'Alzheimer, carcinome surrénalien.Asthme, allergie, VIH , Email..drituaherbalcenter @ gmail.com alors quelle est l'application + 2348149277967 .... Mon conseil à tous les hommes / femmes malades est simple ... Soyez toujours un livre ouvert. Soyez honnête en vous parlant honnêtement de vous-même, de votre situation et de ce que vous êtes. Ne retiens rien. Se retenir ne vous mènera nulle part ... peut-être un aller simple pour Lonelyville et ce n’est PAS un endroit où vous voulez être. Donc, ma vérité finale… et je commence tout juste à comprendre celui-ci…